A l’heure où le ravage écologique constitue une urgence absolue, où la société de capitalisme industriel s’essouffle et où la production doit ralentir, Centrale Supélec cherche à nous inscrire dans un monde de croissance infinie aux idéaux mortifères.
Nouvel appel à la désertion depuis les bancs de l’Ecole Centrale. Dans une lettre ouverte au message clair et puissant, James Amar démissionne publiquement de son cursus à l’école Centrale Supélec. Un an et demi après le discours d’Agro Paristech, il insiste à nouveau sur le rôle des grandes écoles d’ingénieurs, qui forment les « gestionnaires du désastre » dans le ravage écologique et social. Ne plus en faire partie, à moins d’aider au désarmement des structures nuisibles. …