Ce sont les mots de GrĂ©gory, cadre travaillant dans une entreprise moderne. GrĂ©gory tĂ©moigne de la manière dont il a rĂ©ussi Ă limiter son exposition aux ondes, malgrĂ© la nĂ©cessitĂ© professionnelle d’ĂŞtre joignable, partout et Ă tout moment. Car des solutions existent. On peut, par exemple, utiliser un smartphone (ou une tablette) simplement avec une connexion Internet filaire.
Voici son témoignage trouvé sur le Forum Gigasmog
Grand merci pour cet espace d’Ă©change et d’entraide mis Ă notre disposition gratuitement et immense reconnaissance Ă toutes les personnes qui se sont engagĂ©es pour la prĂ©servation de la vie humaine et de la nature face Ă ce terrible flĂ©au que sont les rayonnements micro-ondes artificiels. Grâce Ă eux, tous les Ă©lĂ©ments thĂ©oriques et pratiques pour cerner le problème et s’en protĂ©ger autant que possible sont disponibles, alors prions pour qu’un maximum de personnes ouvrent les yeux et ajustent leurs comportements !
PassionnĂ© par la technologie depuis toujours, j’ai Ă©tĂ© un grand utilisateur des appareils Ă©lectroniques et des connexions sans-fil, j’ai donc Ă©tĂ© soumis Ă de hautes et basses frĂ©quences pendant bien des annĂ©es. Je ne m’en protĂ©geais pas, car personne ne m’avait mis en garde sur cette nocivitĂ©. Une personne de mon entourage a commencĂ© Ă en souffrir, petit Ă petit j’ai admis l’effet nuisible de ces ondes, mais je ne me sentais pas concernĂ©. Par prĂ©caution, j’ai progressivement remplacĂ© le sans-fil par des Ă©quivalents câblĂ©s dans ma maison et mon bureau, mais j’utilisais encore des ondes lors de mes dĂ©placements. Tout ceci a pris fin dès que j’ai Ă©tĂ© Ă©quipĂ© d’un dosimètre pour radiofrĂ©quences. Cet appareil a rendu concret et quantifiable cette pollution « invisible ». En quittant le mode avion sur mon tĂ©lĂ©phone, j’ai constatĂ© des rayonnements environ 100 fois supĂ©rieurs Ă ceux qui rendent mes connaissances malades. J’ai Ă©tĂ© choquĂ© et j’ai rapidement rĂ©activĂ© le mode « santé » sur mon tĂ©lĂ©phone. Dès ce jour, je n’ai plus activĂ© aucune onde Ă©lectromagnĂ©tique. J’ai pu le faire immĂ©diatement, car j’avais dĂ©jĂ tous les Ă©quivalents câblĂ©s pour ma maison et mon bureau. J’effectue mes dĂ©placements en mode « dĂ©connectĂ© d’Internet » et cela ne m’a pas tuĂ©, c’est donc possible, j’en suis la preuve ! Je possède toujours mon smartphone qui se connecte Ă Internet dĂ©sormais exclusivement de manière câblĂ©e. Pareil pour toutes les autres fonctions technologiques modernes dont je me sers beaucoup pour mon travail et dans ma vie privĂ©e. Tous les Ă©quivalents au sans-fil existent avec des adaptateurs spĂ©cifiques. En plus, ils offrent des vitesses et qualitĂ© de connexion nettement supĂ©rieures. Mon smartphone est toujours en mode avion avec les Wi-Fi/Bluetooth Ă©teints, il n’Ă©met jamais rien. Lors de mes dĂ©placements, tout ce dont j’ai besoin pour mon travail est prĂ©sent dans la mĂ©moire de mon tĂ©lĂ©phone qui se synchronise dès que je le branche. Un smartphone n’a absolument pas besoin d’ĂŞtre constamment connectĂ© Ă Internet. Pour accĂ©der Ă l’agenda, aux contacts, aux messages, aux documents, ainsi que pour prendre des photos, des vidĂ©os, Ă©crire des notes, nul besoin d’Internet, tout est dans la mĂ©moire du tĂ©lĂ©phone, puis cela se synchronisera la prochaine fois que le tĂ©lĂ©phone aura accès Ă Internet par câble.
Ne plus Ă©mettre personnellement de radiation a rĂ©duit l’essentiel de mon empoisonnement. Lire la suite sur le site alerte.ch