La grande confĂ©rence internationale sur la protection des ocĂ©ans, voulue par Emmanuel Macron en pleine prĂ©sidence française de lâUE, se clĂŽture aujourdâhui avec des dĂ©clarations politiques internationales qui demeurent floues sur de nombreux sujets. A lâheure de lâurgence climatique et de lâeffondrement de la biodiversitĂ© marine, ce sommet confirme lâobjectif global de protĂ©ger 30% des ocĂ©ans dâici Ă 2030 et lâintĂ©rĂȘt pour un traitĂ© sur la haute mer mais Ă©choue Ă expliciter les moyens de sa mise en Ćuvre. Lire la suite de l’article de Greenpeace
On ne peut pas prĂ©tendre dĂ©fendre les ocĂ©ans, et âen mĂȘme tempsâ soutenir l’industrie miniĂšre qui va les labourer et aggraver lâemballement du climat. Greenpeace propose aussi une pĂ©tition pour demander Ă Emmanuel Macron de soutenir le moratoire contre lâextraction miniĂšre en eaux profondes. C’est ici.
Quid de la venue de la secrĂ©taire d’Etat Ă la biodiversitĂ© Ă Treguennec, la veille de la confĂ©rence ? Et de sa volontĂ© de trouver un  » Ă©quilibre  » entre lithium et espaces naturels ?