« Êtes-vous favorable à l’inscription dans la constitution française du droit à l’eau et l’assainissement, à protéger l’eau et à interdire son accaparement par les multinationales ? »
L’eau est en danger : pollutions, fuites, accaparement par des multinationales (Veolia, Suez, mais aussi Nestlé, Danone…), surconsommation par des industries prédatrices et l’agriculture productiviste, artificialisation… L’eau vient de plus en plus à manquer. Son cycle est complètement perturbé.
L’accès à l’eau et à l’assainissement est précaire ou impossible pour des millions de personnes : les habitant·e·s ultra-marins pour qui les coupures sont quotidiennes, les sans-abris, les réfugiés, les familles précaires.
Nous voulons inscrire dans la Constitution le droit fondamental à l’eau et à un assainissement de qualité.
L’eau doit être partout gérée en transparence, avec les citoyen·ne·s en régies publiques pour en finir avec les multinationales qui font les poches des usager·e·s.